Ce 2 mai prochain, nous commémorerons la mémoire des victimes de la politique d’extermination de 6 millions de femmes et d’hommes Juifs par les Nazis, le temps de rappeler leur mémoire alors que les derniers témoins survivants disparaissent et que cette époque tragique entre dans l’Histoire.

Il est plus important et urgent que jamais de parler de ces crimes atroces, du génocide, de cette tragédie humaine qui a secoué le monde durant la Seconde Guerre Mondiale. Et de souligner que parmi les 6 millions de victimes juives et de près de 500.000 Tziganes du régime nazi, on a compté plus d’un million et demi d’enfants !

Ce travail de mémoire concerne l’humanité tout entière; à l’issue de la Seconde Guerre Mondiale, le monde entier disait : « Plus Jamais Cela ! ».

Et nous avons été confrontés au génocide arménien, au génocide des Tutsi au Rwanda, au génocide de Srebrenica, aux massacres de 2 millions de Cambodgiens par leurs propres dirigeants, au massacre des Yezidis par l’État islamique, au massacre et au nettoyage ethnique des Rohingyas par le régime en Birmanie.

Nous portons toutes et tous la responsabilité de rappeler la mémoire de la Shoah et des crimes et génocides commis par certains groupes politiques et/ou religieux contre d’autres.

Nous devons faire en sorte que, partout dans le monde, on renforce ce travail de mémoire et d’éducation des jeunes générations, si nous voulons éviter que de telles tragédies ne se reproduisent.

Nous ne sommes pas immunisé.es, loin s’en faut !